D’ailleurs comment ne pas préférer la vie éternelle entourée des vierges du paradis au néant ?
Préférer le doux mensonge à la dure réalité n’est pas le fait d’un vrai philosophe, mais d’un(e) faible !
Avec comme unique perspective un trou froid, noir et définitif.
Le néant d’après la mort comme le néant d’avant la naissance n’est pas un trou, encore moins « froid » (?) et « noir ».
On ne souffre pas d’être redevenu néant puisqu’on n’a plus conscience de rein, alors que l’on souffrirait d’être prisonnier conscient d’un trou froid et noir. L’expression est tendancieuse.
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