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Kalin 7 septembre 2016 15:17

PRECISION : En publiant ce copié/collé , il ne s’agit pas d’amalgamer le crime organisé et les immigrants chinois exploités. Il est seulement à titre indicatif et contradictoire pour ceux qui, à leur habitude constante, ont pris prétexte de l’incident d’Aubervilliers pour étaler toute leur haine contre une autre communauté. Par ailleurs, il est surprenant que l’auteur (Victor) prétendu ancien de directeur de presse (sic) n’ait pas fait référence de ce rapport des RG.. Nan je rigole ! 


La communauté chinoise est dans le collimateur de la police et de la justice, à Paris, pour son implication grandissante dans le travail clandestin et le blanchiment d’argent. Bénéfices colossaux Un récent bilan des Renseignements généraux de la préfecture de police de Paris (RG-PP) fait en effet état d’informations concernant un blanchiment de quelque 5 milliards de francs, entre mars et juin de cette année. Le rapport des RG, qui fait le point de six mois de lutte contre le travail clandestin dans la capitale, montre du doigt le quartier Voltaire, dans le 11e arrondissement. Dans le domaine de la confection, des donneurs d’ordre chinois sont soupçonnés d’avoir exclusivement recours à des ateliers clandestins, dirigés par des personnes de même nationalité, installées à Paris. Ils règlent leurs commandes en espèces. Echappant au fisc, ces activités occultes générent, observent les RG, des bénéfices colossaux dont une majeure partie est transférée puis blanchie en Chine via les succursales parisiennes de la banque de Chine. En six mois, notent également les RG-PP, treize structures commerciales clandestines animées par des Chinois ont été démantelées dans la capitale. Ce n’est pas la première fois que la communauté chinoise, réputée feutrée, est épinglée par les policiers des RG qui appellent à multiplier les contrôles fiscaux. Au mois de janvier, un rapport des mêmes policiers dressait un sombre tableau des activités de cette communauté. Location en sous-main de cassettes vidéos, médecine parallèle cotoyaient les traditionnelles activités de confection clandestines attribuées à cette communauté. 80.000 Chinois en situation irrégulière étaient, par ailleurs, répertoriés en région parisienne. Les RG estiment qu’en 1997 environ 2.500 Chinois ont été conduits à utiliser les services d’un passeur pour entrer clandestinement en France, représentant une somme oscillant entre 200 et 350 millions de francs versés aux responsables des filières. En six mois, treize structures commerciales clandestines, animées par des Chinois, ont été démantelées dans la capitale, dont 10 ateliers clandestins de confection. 

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr


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