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Pour illustrer la manière dont l’écologie politique sert le système, on fera référence à une histoire vraie, dont le caractère pagnolesque peut atténuer la portée.
Jean-Noël Guérini, un socialiste président du conseil départemental des Bouches du Rhöne, a dans le cadre de sa fonction réquisitionné un grand terrain dans les alentours de Marseille, sous le motif de la défense de l’environnement. Puis il a cédé l’utilisation de ce terrain à une société qui traite les déchets pour en faire un stockage. Il se trouve que le responsable de cette société était son propre frère.
Si l’on analyse bien le circuit, les tarifs de rachat des courants éoliens et PV, qui absorbent les surcoûts de ces deux modes de production qui sont plus que marginaux bien qu’ils coûtent par ce biais de l’ordre de 5 milliards d’euros, est le même.
Le prétexte écologique imposé par le gouvernement, alimente les intérêts privés du domaine.
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