Ségolène se la joue perso et tête de bois, face à Sarko mais aussi face à son propre parti. Elle musèle les éléphants, et les différents talents qui pourraient s’exprimer dans son camp. Même si une élection se joue dans les dernières semaines, même si elle peut convaincre sur certains sujets, il y a la fable du lièvre et de la tortue : pendant que son rival avance (peu importe comment, mais il avance...), elle continue de faire la belle, à ne pas avancer, à avoir confiance et à inventer des mots. Nous atteignons ces jours-ci le moment précis où... elle ne pourra plus le rattraper. J’ai deux amis socialistes, convaincus de la première heure, qui ont décidé hier soir de ne plus voter Ségolène. Je cite leurs propos : « Elle a failli nous faire croire qu’elle avait la trempe nécessaire... mais il faut bien se rendre à l’évidence »
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