L’état réserve ses aides à la presse amie.
Valeurs actuelles, Minute et Rivarol ne touchent rien ; au contraire, l’état et les associations subventionnées leur font des procès et ils doivent payer des amendes.
A la suite d’un décret publié en 2015, les aides à la presse ne concerne pas les titres ayant
fait l’objet de condamnations pour racisme, antisémitisme, incitation à
la haine raciale ou à la violence au cours des cinq dernières années.
Avec une ribambelle de lois liberticides, une justice à sa botte et des motifs de condamnation aussi flous et inconsistants, l’état a beau jeu de couper les aides à ses opposants les plus déterminés.
En plus de ça, il fait pression pour leur retirer toutes leurs recettes publicitaires.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération