J’ose
LibérationVous fûtes seules dans cette ville
Evidée d’hommes en partance,
Pour une mission servile
Dans une citée d’arrogance.
C’est le manque, plus dur encore,
De ceux, d’un pays vaincu,
Qui donne autant de remords
A ces femmes au cœur perdu.
Quelle peut être cette alchimie
Qui rend les corps amoureux
Et tant de maris trahis
Sans le désir d’être heureux.
Oh, pauvres filles de France,
Maintenant qu’ils sont partis,
Vous laissant à vos souffrances
Ayant sali la Patrie
Vous subissez les injures
Par ceux, bien moins innocents
Qui dénoncent vos forfaitures,
Pour oublier leurs tourments.
Et, c’est encore maintenant,
Sur vos Enfants innocents,
Que se posent à chaque instant,
Tant de regards indécents.
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