Bonjour, Victor
« la clientèle réclame des vins faciles à boire, plus léger en alcool. »
Je suis loin d’être sûr de cela : les vins qui dépassent les 13° se vendent très bien, notamment chez les bobos.
Je parle évidemment des rouges. Pour ce qui est des blancs et des rosés, ce sont au contraire les vins légers et fruités qui sont plébiscités.
Personnellement, le degré d’alcoolisation des rouges me laisse indifférent : cela fait au moins 40 ans que j’ai arrêté d’en boire pour me concentrer sur les blanc, avec une prédilection marquée pour les vins d’alsace et les déclinaisons de cépage sauvignon.
Cela dit, j’aimais bien les rouges produits dans ma jeunesse par mes cousins du Puy-de-Dôme : des vins qui avaient du mal à atteindre les 9° mais qui n’étaient pas dénués de charme.
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