En réponse à :
@zak5
Ce passage peu pratiqué du Talmud et surtout sa conclusion aurait pu être considérés par les juifs associés à la promulgation de cette loi. La volonté d’expiation du gouvernement espagnol aurait évité cette bévue.
»Toute personne qui invoque le pardon de son prochain ne devra pas le requérir plus de trois fois. Il faut pardonner, sous peine d’humilier ou de décourager l’autre.«
Vos commentaires ne répondent pas à la question que vous rappelez.
En quoi le faible nombre des bénéficiaires (juifs) justifie-t-il une mesure impartiale ?
En quoi le nombre important de lésés justifie-t-il qu’on ignore leurs préjudices ?
Un commentaire partisan ne défend pas sa cause.
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