Dans un monde en ébullition, etre pétri de certitudes, et s’endormir chaque soir du sommeil du juste doit etre une sensation trés agréable.
Je vous imagine, à la proue du paquebot « le Libéral », les bras en croix, vous êtes le maître du monde et vous ne savez pas encore, le sort que l’iceberg vous réserve.
Oui, il y a cacophonie à gauche, et c’est bien normal, aprés tout, puisqu’il s’agit de penser différemment, malgré le poids de l’éducation subit et distillée par un système qui s’appuit depuis des siècles sur l’exploitation de l’homme par l’homme.
Les individus qui pensent à gauche, ne disposent d’aucun modèle concret comme base de réflexion, ils sont contraints de penser par opposition à ce qui existe, et ce n’est pas évident .
En fait, toute la partie de l’article, qui tend à juger de la situation de la gauche n’est qu’une mise en bouche au service d’une conclusion erronée.
Le fait est qu’il n’y a aucun phénomène de causes à effets entre la situation actuelle et vos conclusions.
lorsque vous écrivez « ce n’est pas en travaillant moins que les conditions de vie des plus démunis s’améliorera... »vous répétez un voeu dans la logique d’une vision tronquée de la société.La réalité, en ce qui concerne le travail rémunéré, c’est que l’intervention humaine tend à devenir négligeable dans la production des biens et des services. La rançon du progrés c’est la raréfaction des emplois. Ceci accouplé aux problèmes liés à l’écologie, les conséquences sont mathématiquement quantifiables. Productivité accrue + Consommation raisonnée = Diminution d’emplois.
Un certain nombre d’emplois doivent leur éxistence à des subterfuges politiques, alors qu’ils sont au mieux inutiles, au pire nuisibles. Une énergie propre produite et gérée par le consommateur, c’est possible, mais avec des conséquences sur l’emploi.L’accés à la propriété, c’est la mort de l’économie lié à la location.Ce n’est pas une charette, ni un wagon, ni un train, mais des pans entiers d’une économie factice qui sont menacées par la convergence des progrés technique et des aspirations humaines.
En réalité, le pragmatisme, auquel se réfère un grand nombre de faux penseurs, n’est pas parmi ceux qui s’en réclament, mais bien là ou il est dénoncé, ce qui en soit démontre l’absurdité de la situation, et la difficulté à séparer le réel de la fiction.
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