Il n’est pas combattif, Groslineau, c’est un mou.
Rien à voir avec le naturel ou la combativité d’un Trump ou d’un Jean-Marie Le Pen.
L’autre jour, je l’ai vu à la télé par hasard ; l’entretien était assez courtois, aucun sujet tabou n’a été abordé mais il était tout stressé devant le journalope de service.
Au bout de trois minutes, il n’en pouvait plus, il transpirait à grosses gouttes.
Il devrait arrêter, il n’est pas fait pour ça.
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