Le ton de cet article me laisse un goût... fade.
’Bézu est mort’, voilà certes une annonce inutile et qui ne m’empêchera pas de reprendre deux fois des moules mais, franchement, ironiser en long et en large sur les hauts faits du cadavre, c’est tirer (un peu tard) sur l’ambulance.
... Qui plus est, pas besoin d’être au-dessus du seuil de débilité mentale pour constater que, question ambulance, Bézu comptait pour une flotte à lui tout seul. La cible était trop évidente que pour être tirée - et je vais avoir du mal à vous pardonner de m’avoir fait utiliser une métaphore chasseresse.
Laissez-donc ce corbillard en paix, que je m’empresse de l’oublier à jamais.
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