Une langue ne se décrète pas. Elle se constate. Toutes les bizarreries ont un sens, au minimum historique.
Au plan lexical et phonétique par exemple, il s’agit d’un équilibre serré de la théorie de l’information : minimiser l’énergie utilisée pour produire un son, tout en conservant l’information transmise et un certaine niveau de redondance nécessaire.
Il y a aussi à mon avis une sous-estimation éthologique : les animaux ne se contentent pas de sons inarticulés. Ils disposent pour beaucoup d’un langage muni d’un seul niveau d’articulation, contrairement à l’homme dont le langage est « doublement articulé » en phonèmes et mots.
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