En réponse à :
Sans compter que nos convictions et détermination permanentes peuvent (et devraient) bénéficier d’une autre arme tout aussi imparable que le(s) boycott(s) :
lorsque la contrainte devient létale et ne peut être esquivée ni repoussée-rejetée ni moquée-désavouée ... reste l’ultime recours à la grève du zèle !
Si l’on fait appel à un humain pour obtenir une action, c’est qu’on ne sait programmer un robot pour obtenir le même service sans avoir à gérer des motivations qui risquent de gripper ! C’est donc que les seuls ordres que l’on sait donner à un esclaves ne seraient pas suffisants/efficaces pour obtenir d’un robot un résultat probant :
l’humain qui doit obéir mais ne cautionne pas l’action à laquelle les ordres le contraignent n’a donc qu’à appliquer les ordres à la lettre -et sans plus !- , comme un robot obéissant : il sera assuré de s’acquitter d’une obéissance irréprochable, pour un résultat fatalement inopérant, voire pire pour ses donneurs d’ordres !
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