...il fut très choqué par les cris d’horreur, de dégoût et de tristesse à la vision d’un chien mort ; les images d’enfants, femmes et hommes gazés, brûlés ou autres n’avaient pas provoqué le dixième de ces réactions.
Moi, je trouve réconfortant un tel exemple qui nous montre que notre société ne baigne pas encore complètement dans une sensiblerie empathico-gluante suicidaire, puisque des jeunes identifient plus facilement un chien à leur chien, qu’ils ne s’identifient eux-mêmes aux « Martiens » des autres continents...
Il faut toujours voir le bon côté des choses...
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération