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Christian Labrune Christian Labrune 12 juin 2017 22:38

La lecture de l’article Wikipedia consacré à Norman Finkelstein est très instructive. Prendre au sérieux cet idéologue fumeux, c’est un peu comme si on allait consulter des négationnistes pour avoir des lumières sur la dernière guerre.

Des traîtres, il y en a partout, et en France on a Mélenchon, apôtre de la soumission, et un certain nombre d’autres excités du même tonneau. Norman Finkelstein fait partie de ces intellectuels d’extrême gauche, juifs antisémites, qui ont choisi de trahir leur camp, dont l’idéologie est fort bien analysée dans le bouquin de Pierre Lurçat : « La trahison des clercs d’Israël ».

Pour les paresseux, je recopie quelques paragraphes de l’article de Wikipedia ; les deux derniers réjouiront grandement tous les Français. Allah akbar !

WIKIPEDIA :

Via une lettre de son président Dennis Holtschneider, le 8 juin 2007, l’Université DePaul de Chicago confirme le rejet de sa candidature comme professeur titulaire en science politique[6]. La commission d’attribution a réprouvé le soutien du conseil des facultés[réf. souhaitée]. L’avocate Lynne Bernabei le défendra contre cette décision.

Le 5 septembre 2007 l’université lui a interdit d’enseigner et a exigé qu’il libère son bureau[7]. Il démissionne en septembre 2007 après que les deux parties aient signé un accord privé. Le lendemain, l’université a indiqué qu’il était un « scientifique prolifique et un professeur exceptionnel ». Son adversaire, le professeur de droit de Harvard Alan Dershowitz, s’est dit peu impressionné et a déclaré que « dire que Finkelstein est un scientifique est un mensonge, il fait de la propagande[8]. » Pour sa part, Finkelstein maintient qu’il s’est vu refuser le poste de professeur à cause de pressions extérieures à l’université.

Lors d’une interview avec le journaliste George McLeod publiée le 16 septembre 2007, il compare son cas de non-nomination à ceux de Juan Cole de l’Université Yale, de Joseph A. Massad, de Nadi Abu el-Haj et de Rashid Khalidi[9]. Dans cette interview, il affirme que le lobby israélien est plus puissant que d’autres lobbies, tels ceux de Cuba ou de la Chine.

À la suite de la publication en novembre 2006 du livre Palestine : Peace Not Apartheid de l’ancien président américain Jimmy Carter, il publie « Peace, Not Apartheid », une critique détaillée et plutôt positive de ce livre (tout en relevant plusieurs erreurs historiques)[10]. Alors que le livre de Jimmy Carter devient un best-seller, de nombreuses critiques de la part de partisans de la politique israélienne s’élèvent. Finkelstein publie alors une critique des critiques du livre de Jimmy Carter[11].

Il est membre du comité de parrainage du Tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009.

Il prend position après l’attentat contre Charlie Hebdo contre les dessinateurs et les journalistes du journal satirique qu’il compare à ceux du journal Der Stürmer, un organe de presse nazi antisémite. Il pose la question : « considèrerions-nous comme des martyrs et des héros ceux qui choisissent de se moquer des croyances profondément ancrées d’un peuple... ? »[12].

Dans un autre article, il condamne les caricatures publiées dans Charlie Hebdo peu après le crash du Vol 9268 Metrojet[13].


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