@ Pierrot & Alfred
Vivre avec une personne borderline relève, par certains côtés, du véritable sacerdoce et la souffrance immposée aux proches par les conséquences de la maladie, et non par la personne elle-même,ne sont pas assez prises en compte. Il reste de ce côté là bien des choses à faire. Ca commence à bouger au niveau associatif et c’est une grande nouveauté.
D’un autre quoté, partager le quotidien d’une personne borderline nous conduit à ne plus se la jouer et à renoncer à nous faire des illusions sur notre compte. Elles jouent le rôle de révélateur...
C’est vrai que plus on descend vers le sud, plus la psychopathologie nous semble étrangère. Mais à mon sens elle l’est plus dans son expression que dans sa nature. Il faudrait pour creuser un peu la question étudier les travaux des ethnopsychiatres.
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