Excellent texte.
Excellent commentaire aussi, de Milla qui écrit entre autres : « »Par exemple quand un clochard commence à vous expliquer qu’il possède 3 avions, une banque, qu’il est marié à un mannequin, qu’il parle à Dieu et que visiblement il y croit, on a alors tendance à douter... « »
On pense bien à quelqu’un ... Mais non, c’est un milliardaire, ...
A l’auteur : quels liens feriez vous entre parent et enfant relativement à la dualité psychopathes et bordelines ?
Parent psychopathe et enfant borderline d’un coté, parent borderline et enfant psychopathe de l’autre ? Y-a-t’il une symétrie ? Ou non ? J’ai tendance à penser que les psychopathes s’en sortent plutôt bien dans notre société de plus en plus dure, pas les borderlines.
Plus précisément je dirais que l’augmentation des cas borderlines est directement liée à l’augmentation de la psychopathie, laquelle serait une maladie typique de nos dissociétés (selon le sens que lui donne Jacques Généreux dans son ouvrage : « peuplées d’individus dressés les uns contre les autres »).
La psychopathie et la dissociété comme pb de la poule et de l’oeuf.
