Les riches bolivariens se rebellent en effet contre l’assemblee du peuple democratiquement elu, et repriment par la force les mouvements populaires majoritaires. On les comprends. L’auteur a en effet admis dans un precedent article, que les apparashiks bolivariens habitaient les quartiers huppes. Comme ce n’est pas par l’entreprise qu’ils ont accumule l’argent necessaire a leur niveau de vie elitiste, ce ne peut etre qu’avec l’argent public. En rendant le pouvoir au peuple, il devrait aussi lui rendre des comptes. La politique d’inclusion des chinovnikis bolivariens dans les quartier chics sur fonds d’Etat, dans un pays ou il y a, du fait de leur gestion desastreuse, tant de misere, tant de gens contraint de fuir a l’etranger, comme refugies politiques ou economiques, a quelque chose de particulierement choquant. Souhaitons que les masses populaires venezueliennes parviennent a se debarasser des ces fachos totalitaires et profiteurs sans trop de victimes. Mais on sent que les riches bolivariens ne se laisserons pas faire. Dans chacun des articles de leur propagande, ils ne peuvent s’empecher de regretter l’existence, pourtant fragile de medias civils civiques citoyens, en evoquant au fond la necessite d’une info purement etatique et partisane. Ce desir avoue d’un controle social, sans limite laisse penser que le pire est possible.
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