Ce n’est pas du racisme : ils se méfient des gens de Castellane, je crois, arabes ou pas, comme voisins. Mais il n’y a pas de race en cause. C’est comme dans la guerre des boutons, ou même la pratique religieuse est en fait un prétexte pour définir un intérieur et un extérieur et donc, au sens direct, une identité locale.
Dans le réel, c’est le film de Coline Serault, le raciste non seulement est reçu par des arabes, mais à été adopté par eux. Ces ont les gens de la tour voisine qui sont des méchants.
Le racisme c’est que un producteur américain s’est tapé des artistes dans sa carrière, et compte tenu du milieu, il doit y avoir au doigt mouillé une moitié d’innocentes, qui ne se doutaient pas que pour réussir, il y a parfois un risque d’être confronté à des pressions, et une moitié de carriéristes qui ont débarqué dans son bureau en minijupe et décolleté affriolant, en pensant très fort - ou pas- que ce n’était pas une invite mais une question de goût vestimentaire. 4O ans après, tous ses copains progressiste crient haro sur le baudet, comme avec DSK.
1200 femmes en une nuit : les progressiste furent nombreux à penser que « ces gens là ne sont pas comme nous, donc ce n’est pas vrai, ce n’est pas eux, et ce n’est pas leur faute ». Ils les excluent donc de la commune, je n’ose pas dire humanité, de leur point de vue, mais masculinité.
Il y en a même qui ont prétendu que les femmes devraient faire gaffe...
Alors d’un côté on collecte des faits individuels pour dénoncer une population, de l’autre on nie des faits collectifs produit par des gens bien repérés pour nier un phénomène sociologique.
La caractéristique commune de Weinstein, DSK, Beaupin, Polanski c’est qu’ils étaient des idoles culturelles, politiques, etc, du lectorat du Monde et que leurs pairs au moins étaient au courant de façon complaisante. Pas qu’ils soient typiques du mâle blanc de plus de 50 ans ou du sioniste comme certain débile font semblant de le croire.
Prêter les perversion des milliardaires producteurs américain aux petits blancs de plus de 50 ans sans formation qui sont trop au chômage pour avoir de vraies perversions sexuelles, c’est une des grandes ignominies des intersectionalistes américains que nos progressistes français tentent d’acclimater chez nous.
C’est cela le vrai racisme.
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