Ma question à l’auteur est celle d’un béotien : pourquoi passer autant de temps à démonter les écrits de Heidegger ? Son oeuvre est-elle encore à ce point incontournable dans le petit monde de la philosophie universitaire qu’il faille user ses forces à ruiner son influence auprès des jeunes générations ? L’obscurité même du style du devin de la Forêt Noire ne constitue-t-elle pas un rempart suffisant contre tout danger de contamination par une bête immonde conceptuelle ? N’est-il pas opportun de citer ici une fois de plus la parole de Nietzsche : « qui trop combat le dragon devient dragon lui-même » ?
Pourquoi des penseurs aussi importants que Husserl ou Jaspers ne suscitent-t-ils pas la même fascination ?
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