Les détails que vous donnez sur les « exigences »
de cette saloperie fait penser à celles d’Anders Breivik en Norvège, un autre
psychopathe auquel toute personne civilisée ne souhaite pas la peine de mort.
Par contre, leur état clinique mental désespéré leur procure de telles
souffrances que le minimum d’humanité devrait permettre de les aider à abréger
leurs calvaires à l’aide d’une piqûre létale. Le refus de l’acharnement
thérapeutique n’est plus guère défendu que par les aficionados de Mme Boutin
(et encore, je sais même pas !).