Mais ce monde n’est pas un idéal mais plutôt une machination perverse afin de nous harper avec de multiples crédits et de nous offrir une multitude de choses inutiles. Quelle est belle la souffrance au travers de nos désirs jamais rassasiés, à la recherche d’un illusoire bonheur dans la possession de produits de dernières générations.
Des heures à faire la queue chez Disney pour quelques secondes d’un manège chèrement payé par une année de dur labeur alors je tourne en rond à la recherche de ce bonheur qui s’éloigne toujours plus à mesure que je m’en rapproche. S’offrir des vacances hors de prix de l’autre côté de l’équateur dans le dépouillement le plus total, allongé sur une natte à manger du riz. Envier ceux qui ont acheté à prix d’or le dernier téléphone qui par la grâce de Dieu fait toujours téléphone.
S’offrir la dernière voiture qui se gare toute seule avec la connexion satellite (les 78 000 antennes terrestres en France font très bien l’affaire en passant) Allez très haut dans les études et finir plongeur dans le petit resto du coin, croire encore au miracle Américain et s’acheter un polo avec son drapeau imprimé. La souffrance viendra toujours du manque alors si vous voulez passer ce cap simplifiés vos vies.
Tout le reste n’est qu’illusion...
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