Au-delà des tireurs embusqués, il y a la confiscation de l’aide humanitaire par le pouvoir islamiste pour affamer la population, l’annulation des départs sécurisés de civils (musulmans et chrétiens mélangés) par le souterrain et parfois l’exécution des candidats au départ pour garder la population en otage, les tirs de mortiers de provocation effectués à partir de positions interdites comme l’accès du parking souterrain de l’hôpital central ou la terrasse de l’hôtel des journalistes occidentaux afin d’appeler un tir de contre-batterie serbe, et surtout les pilonnages de la queue de la boulangerie et du marché de Markale (deux fois, avec bombes mises à l’avance dans les poubelles pour faire plus de victimes). Là aussi l’enquête balistique (trajectoire mais aussi simplement portée) de l’ONU, donc en l’occurrence des spécialistes français déployés à Sarajevo, a indubitablement innocenté l’artillerie serbe de la montagne et incriminé les mortiers musulmans du quartier. Si le président islamiste Alija Izetbegovic n’a confessé le pilonnage du marché de Markale que sur son lit de mort, sans regret puisque l’objectif d’une intervention internationale a été atteint, son chef d’état-major de l’époque Sefer Halilovic avait présenté immédiatement sa démission car son devoir de soldat était de tuer des ennemis chrétiens, pas des siens musulmans. Réchappé alors d’une tentative d’assassinat, il confirma plus tard la raison de sa démission, ainsi que d’autres amers secrets, dans son livre Lukava Strategija (la stratégie folle) que le gouvernement islamiste fit saisir quelques jours après sa parution...
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