Bonjour clément dousset,
je lis avec plaisir ce nouvel article
que j’avais plussé en modération à sa sortie. je ne sais pas pourquoi il
n’apparait qu’aujourd’hui.
Vous dites : ’’Qu’on enlève à la conscience l’intensité de la volonté et de l’affectif et il n’en reste rien.’’
Hum ? est-ce que n’est pas une tautologie, vu que conscience et volonté c’est quelque part la même chose ?
D’ailleurs vous ajoutez plus loin : ’’ Notre corps n’a pas besoin qu’existent des
contenus de conscience pour effectuer diverses sortes de travail.’’
Si je peux risquer une métaphore : dans « l’UE racontée à ma fille »,
les États sont les organes du corps qui effectuent leurs tâches sans
tenir compte de l’intérêt collectif supérieur (sans rire !) des nations
européennes. Les organes directeurs de l’UE, par le biais des directives
et des subventions - l’énergie - , orientent la politique des États.
Par analogie je risquerais ici que la notion de conscience séparée du
reste du système nerveux, résulte d’une sorte de principe de
subsidiarité.
Si bien que, s’il existe a une différence entre
les neurones responsables des processus mis en œuvre, elle est de nature
fonctionnelle et non pas intrinsèque. Je pense que votre approche
gagnerait à être confrontée aux notions d’inconscient, de moi et de
surmoi.
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