Ce ne sont pas les 10%, mais au maximum 2 ou 3% des plus haut revenus et patrimoines qui profitent de la suppression de l’ISF sur les capitaux financiers et de la flat tax sur les revenus du capital.
C’est au double détriment de ceux qui se serrent la ceinture (diminution APL), et aussi de ceux qui raquent pour suppléer le manque à gagner par le fisc (CSG non compensée, taxe habitation maintenue...), car la pression fiscale totale sur les particuliers ne baisse pas, et il y a une reconcentration vers ceux situés entre les « percentiles » 70 et 95 de l’échelle des revenus
Diagramme :http://www.captaineconomics.fr/images/mai2012/Taux-Global-Imposition-Classe-France.png
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