Mon humeur ordinaire mais pas toujours à portée de plume, me fait penser qu’au fond, de quel bord soit-on, on ne parle que de fric.
Ceux qui en ont trop, ceux qui n’en ont pas assez, toujours relatif, ceux qui sont jaloux, ceux qui s’en foutent, ceux qui sont ambitieux pour en avoir, et, peut-être, ceux qui sont révolutionnaires pour mieux le partager.
Je pense effectivement que tous n’ont pas le minimum vital : un toit sur la tête où il fait chaud l’hiver, mais pour le reste que l’on ait pour ambition d’organiser les liens par l’entraide, l’échange, le troc alors que la plupart des braves gens s’occupent à la charité déguisée, à l’aide aux victimes, toute chose indispensable pour faire perdurer ce monde.
On sort par millions dans la rue parce que l’on est Charlie, ou bien Johnny mais en rentrant on n’oublie pas de vendre sa photo dédicacée millésimée 67 !
Quelque chose me dit que quelque chose s’est pourri dans le cœur de l’homme...
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