« Florence Aubenas, l’ex journaliste de Libération, passée depuis au Nouvel Observateur, qui a le malheur d’habiter le quartier le confesse volontiers : »C’est difficile de rentrer chez soi« . A chaque fois il faut montrer patte blanche sinon on ne passe pas. Pas question d’avoir des invités. Les consignes sont au filtrage strict. Pas question non plus de vouloir regagner ses pénates avec un autocollant anti-sarko. La police de proximité du ministre-candidat veille et impose le retrait de tout signe considéré comme ostentatoire. Crime d’hérésie ou de lèse-majesté, c’est au choix. »
Ce paragraphe n’est pas seulement une démonstration que l’auteur ne recule devant aucune démagogie outrancière, embauchant par la même occasion Florence Aubenas qui n’en demandait certainement pas tant.
L’imagination de l’auteur n’est pas neutre et sa description du pâté de maison occupé et sous contrôle d’une police de pays totalitaire est certainement sa conception de ce que devrait faire la police pour rétablir l’ordre juste qu’il appelle de ses voeux.
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