A partir du moment
où le soutien sans failles des USA - sous la coupe des banquiers
sionistes - à Israël qui n’est viable que par les transferts
colossaux de fonds et de technologies occidentaux est qualifié de
fantasme, on voit vite où l’auteur veut en venir : transférer
un antisémitisme de pacotille sur le dos de ceux qui subissent
actuellement l’inexorable loi d’airain de la ploutocratie
mondiale, à savoir les gueux de tous les pays du monde et
principalement ceux à qui on refuse même le droit à être une
nation disposant d’un état : les Palestiniens.
Voltaire
cultivait son antisémitisme par la lecture de la Torah dont certains
passages gratinés et explicites faisaient de la domination du Juif
sur les autres peuplades réduites au rang d’esclaves la clef de
voûte de la foi hébraïque.
On a beau dire que
ces passages sont oubliés ou ne sont plus d’actualité voire sont
le reflet d’une époque lointaine où toute la vie communautaire et
intracommunautaire s’inscrivait dans le cadre de rapports de
force parfois favorables parfois défavorables selon le bon vouloir
de Yahvé, le sentiment de supériorité reste imprégné dans le subconscient du
Juif.
Même le plus misérable des hères, pour peu qu’il soit
juif, a le sentiment d’appartenir au peuple élu par Dieu et donc
ne doit rendre finalement de comptes qu’à un Dieu qui a fixé des
règles douces aux Juifs et dures aux non-Juifs.
Alors ils ont beau jeu d’agiter l’ombre de l’antisémitisme, eux qui contrôlent en France pratiquement tous les organes de presse et s’en servent pour faire du moindre fait divers dont un israélite est victime une manifestation de l’antisémitisme et pousser la complainte jusqu’à exploiter sans vergogne les crimes du nazisme dont ils ont fait un formidable outil de propagande visant à gommer leurs propres turpitudes.
Toute l’histoire d’Israël respecte ces principes et celui ou ceux qui dérogent sont balayés par l’histoire récente de ce pays.
Toutes les religions issues du courant abrahamique sont porteuses des mêmes aberrations coupables : des Chrétiens ne pardonnent pas aux Juifs d’avoir livré Jésus et y voient la duplicité propre à cette engeance, les Musulmans - au fond les plus proches cousins du judaïsme et ceux qui lui ressemblent le plus - ne pardonnent pas aux réfractaires de ne pas avoir embrassé la religion musulmane et d’être restés ancrés dans leurs croyances primitives.
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