Une petite question quand même ; comment pouvez-vous mettre en parallèle le retour sur investissement attendu d’un moteur destiné à équiper des milliers d’avions commerciaux, le Leap, avec un moteur destiné à quelques centaines d’avions d’affaires, tout au plus ?...
Serait-il concevable que SAFRAN ait finalement botté en touche, doutant de la rentabilité d’un tel programme ?