Un pays qui ne contrôle plus son immigration, sa monnaie, ses lois, son économie, son armée, et qui reconnaît une constitution étrangère comme supérieure à la sienne n’est plus un pays. C’est une province, au mieux. La petite phrase de Soros, grand mécène de l’immigration de masse, est révélatrice de la volonté des oligarques de détruire les vieux états-nations européens : « l’immigration sera le bélier de notre mondialisme ». C’est bien de vouloir aider son prochain, mais est-ce que vous vous rendez compte que les véritables intérêts que vous défendez ne sont pas ceux des immigrés, ni des français, mais ceux des grands capitalistes qui sculptent le monde à leur guise ? Pour eux, nous ne sommes que de la main-d’oeuvre trop cher, et l’immigration de masse est leur arme suprême pour baisser les coûts et doper leurs bénéfices. Les acquis sociaux garantis par les états providences, ils n’en veulent plus, ils veulent des esclaves dociles et sans défenses. L’enfer est pavé de bonnes intentions et c’est le diable qui mène la danse.
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