En réponse à :
Il y a une faille de taille dans votre raisonnement. Les pays qu’on a sciemment détruit pour je ne sais quelle obscure raison - qu’on nous révèlera sans doute dans dix à vingt ans - (Irak, Libye, Syrie) sont d’une dangerosité telle qu’il leur est techniquement impossible d’y revenir. Effectivement, les combats, massacres et attentats sont monnaie courante et, avant de parler d’aide à la reconstruction, il faut déjà la sécurisation du territoire...ce qui n’est pas gagné.
En plus, comme tout est détruit ou presque se pose la question du logement parce que les conditions climatiques et sanitaires sont loin d’être bonnes. Lorsqu’on voit les conditions de vie de l’armée Syrienne, il est fort à parier que les habitants d’Alep - complètement détruite - sont dans une merde noire.
Ajoutons également que, comme ces pays sont sur les genoux, ils ne risquent pas de trouver un travail car l’économie est aussi détruite et que par conséquent leur seule voie de salut est...l’immigration. Une répercussion de notre alliance désastreuse avec les Etats-Unis (au lieu de suivre la politique de neutralité) et de nos jeux pervers avec eux contre des nations n’ayant pas la même vision du monde que nous.
De toute manière, en France, l’intégration dans la société est morte à cause de notre politique laxiste et je-m’en-foutiste et celle par le travail a été annihilée par les entrepreneurs sans scrupules. Alors des personnes ne parlant pas notre langue, sans ressources et n’ayant aucune idée de ce qu’est notre société n’ont pas d’avenir à part grossir les rangs de ceux qui souffrent et dorment dans la rue.
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