@JL
Deuxième « a priori » faux :
« On sait pourtant les famines d’autrefois, lorsque tout le monde mangeait bio. »
Autrefois, on ne mangeait pas « bio », ce terme faisant référence à un protocole ou une charte qui s’appliquent à des méthodes agricoles utilisant des technologies mécaniques et chimiques inconnues « autrefois » (terme qui peut aussi bien concerner les chasseurs-cueilleurs que le les éleveurs-jardiniers du néolithique ou les agronomes de Colbert et Parmentier !).
« Autrefois », « on » ne mangeait pas la même chose dans les chateaux et dans les chaumières.
La question qui se pose est la capacité de la planète à subvenir aux besoins d’une population d’hominidés dont la prolifération n’est plus contrôlée pas la sélection naturelle... Pour ce qui est de la destruction de la planète en question, d’autres acteurs que les agriculteurs « bio » ont fait certains dégâts : urbanisation, autoroutes, aéroports, pétroliers (navires et foreurs), complexes touristiques, j’arrête....