KWEZI / temps de parole Mahmoud Aziary / 14 mars 2018-03-14 (notes sur le vif)
Sortie de crise ou non ? La population n’ira pas retrouver l’intersyndicale.
M. A. : « réunion positive, ce n’était pas une négociation, rien à
négocier, 61 mesures qui ne sont pas au collectif, ns y sommes allés
avec une feuille blanche, 15 points ont été mis sur la table, la
ministre en a acceptés 13 et doit réfléchir aux 2 derniers.
Que les immigrés soient autorisés à circuler dans la France entière. Si c’est un échec, qu’il retombe sur moi,
Que les élèves puissent aller en classe sans qu’il y ait une seule agression.
Le général répond qu’il faut, dans ce cas, lever les barrages.
Les bandes organisées pourrissent la vie. La France a les moyens,
qu’ils soient déployés, l’armée qui va sur des terrains difficiles
(Mali) ne pourrait pas ici ? Le général s’engage… à voir dans le mois…
Le plan de 2016, très bien fait, n’est pas appliqué !
Des moyens sont toujours demandés en mer, radars etc… L’État est faible
parce qu’il envoie des débutants à tous les postes. On a besoin des
meilleurs.
Il faut une Justice en laquelle on aurait confiance
Je suis le dernier à avoir confiance en l’État dans ce cas, on lève des
milices, on se débrouille et ça peut aller vers l’indépendance... Mais
on parie pour que la France agisse et ne se contente pas d’annoncer.
Tous les documents, logement, croissance, tout est écrit mais rien n’est
fait. On ne va pas écrire des choses déjà répétées à profusion.
Changeons de méthode. Process à mettre en place pour contrôler ce qui se
fait d’efficace dans le monde d’autant que l’État prétend « autre
temps, autres méthodes !
P.Millan : Mesures immédiates et aucune réactivité par rapport aux voitures qui brûlaient dans la nuit !
M.A. : La ministre était même au courant des évènements de la nuit avec
seulement les quelques policiers locaux ? A quoi ça ressemble ?
Conseil des ministres aujourd’hui. Elle a des éléments qu’elle n’avait
pas nous avons dit des choses que l’administration, les élus se
retiennent de transmettre.
Hier on a amené le document sur la
Guyane. A Mayotte on compile 20 ou 30 documents, un plan qui ferait
avancer. On travaille avec eux. On signe à la fin pour une loi-programme
qui ne serait pas remise en cause par un quelconque renouvellement
politique.
Que des expériences qui ont fait leur preuve ailleurs soient mises en œuvre.
On n’écrit pas, ON FAIT !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération