En réponse à :
Si la diplomatie française n’avait pas perdu la mémoire, si cette amnésie ne trouvait sa cause ni dans
la veulerie ni dans l’avidité, alors nous aurions pu, nous aurions dû entendre ceci :
Damas ! Damas outragée ! Damas brisée ! Damas martyrisée ! mais Damas libérée ! libérée par elle-même,libérée par son peuple avec le concours des armées de la Syrie, avec l’appui et le concours de la Syrie tout entière, de la Syrie qui se bat, de la seule Syrie, de la vraie Syrie, de la Syrie éternelle.
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