Voilà un billet bien plus guilleret. Robert Merle parlait aussi à ses chères lectrices. L’homme après avoir lu sa bibliographie était bien loin de celui que j’imaginais. Ayant eu la chance hélas courte d’avoir serré le vrai dans mes bras. Celui qui se prenait pour Emmanuel (pas l’actuel) dans Malevil. Voyage ente roman et réel, passant par le réel tragique d’une disparition mais qui, comme le coureur de fond transmet à l’autre le « témoin ». C’est ainsi que dans un deuil insurmontable, je retrouvail MON aimé à travers les romans de Robert, le merle qui nous chantait sa petite chanson presque chaque année (moyenne de la sortie de ses livres), j’auqu’à sa mort, le 7 mars 2004. Qui allait prendre alors le relais ? Il me fallait faire mon chemin toute seule, sans un maître, un père qui vous tend la main dans les nombreux casse routes de la vie. J’avais déjà trouvé un ami, un frère qui lui au moins me montrait qu’il était là, présent, même s’il ne pouvait être l’AUTRE. Il a cette qualité si précieuse : FIABLE, à défaut d’être un guide ou autre. Quelle chance j’ai eu,... j’ai toujours. Nabum, certes n’est peut-être pas cet homme sur lequel les autres peuvent compter (trop blessé,...pas suffisamment stabilisé), mais par ses écrits, d’une certaine manière (même maladroite) il montre qu’il est présent au rendez-vous journalier. Je suis de ses lectrices. A suivre,....
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