Beaucoup de confusions dans cet article concernant le rôle et le positionnement de chacun : si Afrin est tombé sous contrôle turc, c’est que le YPG croyait stupidement que les États-Unis allaient leur venir en aide, comme les Kurdes croient aussi qu’ils pourront rester tranquillement sous la protections des États-Unis à l’Est de l’Euphrate, validant ainsi un partitionnement de fait de la Syrie.
La menace qu’a proféré Nikki Haley aux Nations Unies ne concerne en rien la Turquie : les États-Unis n’oseront pas, pour le moment, s’en prendre militairement directement à la Turquie, cette menace est dirigée contre la Syrie.
Bref, vos « bons » Kurdes ne sont que des outils des États-Unis pour démembrer la Syrie et ils ont préférer céder Afrin à la Turquie au lieu de laisser le gouvernement syrien en prendre le contrôle.
Analyse complète ici.
Cette affaire est loin d’être finie : pour le moment, la Syrie n’a pas les moyens d’être sur tous les fronts.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération