Pour ma part, j’ai d’abord découvert Jacques Higelin comme acteur dans le très beau film « Elle court, elle court la banlieue » de Gérard Pirès d’après Nicole de Buron – film bien oublié aujourd’hui – qui dénonçait avec une verve roborative ce qui allait devenir la norme de notre sociétés, à savoir l’aliénation consumériste et le talent qu’avaient et qu’ont toujours les « managers », nouveaux arbitres des élégances, pour imposer leur vision utilitariste de la société, source des difficultés d’existence aussi bien matérielles qu’existentielles des gens qui n’ont que leur force de travail à offrir pour obtenir les miettes leur permettant de survivre dans un monde de concurrence exacerbée.
J’ai moins suivi le Jacques Higelin, interprète créateur dont je veux bien reconnaître le talent même si je n’ai jamais eu beaucoup l’occasion ni peut-être le goût d’en apprécier les tonalités.
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