Bombardement américain : du vent. Des laboratoires inspectés par l’OIAC régulièrement.
Celui de Barzeh, était soi-disant « spécialisé dans l’installation d’armes chimiques sur des missiles à longue portée et l’artillerie » selon les agences de renseignement qui, comme on le sait, donnent toujours des infos super fiables...ou pas. Râté cette fois encore, une fausse information puisque, selon le rapport, aucune trace chimique n’a été trouvée ni aucune activité suspecte reliée à ce type de programme suite à la visite de l’organisation le 22 novembre 2017 (ce qui n’a pas empêché les Etats-Unis de bombarder ces sites quand même cette semaine). On se demande donc bien ce qu’ils ont pu bombarder à part des salles vides et du matériel informatique et de recherche :
»Je suis ici depuis 05H30... et je suis en pleine forme et ne tousse même pas !« , lance-t-il à l’AFP, lors d’une visite de presse organisée par le ministère syrien de l’Information.
»Nous menions ici des travaux de recherche et de développement dans la production pharmaceutique et l’industrie chimique civile« , soutient-il. »
« M. Said, qui se présente comme le responsable du département spécialisé dans la peinture et le plastique, ne comprend pas pourquoi le centre de Barzé a été pris pour cible.
»C’était un laboratoire d’analyse où s’effectuaient des tests sur des produits chimiques utilisés dans les produits alimentaires, les médicaments et les jouets pour enfants. On y produisait également des médicaments contre le cancer ou des antidotes au venin de scorpion et de serpent« , assure M. Said »