Je suis assez sceptique, même si je n’arrive pas vraiment à l’expliquer.
Ca rappelle le sacrifice des chrétiens qu’on jette aux lions, le martyre des moines de Thibérine, dont la geste a été peu compréhensible, la démission de Benoit XVI agoni de critiques
Faut-il vraiment célébrer la mort d’un otage ? Je ne remets pas en cause l’héroïsme de son geste ou la personne du gendarme, ou l’importance de ce qu’il a fait.
N’y a-t-il pas une dérive morbide, qui trouve ses racines dans un certain christianisme, qui ne rend pas vraiment optimiste ?
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