Inutile de faire intervenir l’O.I.A.C. pour confirmer ou infirmer la présence de substances neurotoxiques dans la ville de Douma, car de forts soupçons pèsent sur la marge d’indépendance dont dispose cette organisation, vis-à-vis des Etats-Unis.
Les djihadistes et leurs familles ayant été évacués de Douma après leur reddition, il reste sur place toute la population qui était retenue prisonnière de l’état islamique, et qui pourra témoigner de l’emploi ou non de ces prétendus gaz neurotoxiques !
Et ni Jean-Yves Le Drian, ni Mathilda May, ni Donald Trump, ne pourront prétendre le contraire de ce qu’ils pourront dire, car contrairement aux syriens, ils n’étaient pas à Douma ce jour-là !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération