Le système de retraite par répartition est un système intrinsèquement pervers. Il est totalitaire, et ne peut fonctionner que par l’ignorance.
Il enferme la liberté de chacun de faire son propre choix.
La vérité est que la motivation de la répartition est de voler les générations suivantes et prendre des décisions à la place de ceux qui ne sont pas en âge de voter ou tout simplement pas nés.
L’autre est que le système étant fermé, il y a conscience que laisser partir vers un système qui laisse la liberté individuelle de choix condamne ceux qui veulent vivre aux dépens des autres de la répartition. La solidarité tellement ventée n’est que du totalitarisme.
La répartition n’est pas contractuelle, elle n’est pas transparente, elle nécessite de cacher les flux, et elle est idéologique avant d’être réaliste.
Pas de contrat, ignorance crasse de la vérité des cotisations versée, ignorance des gestionnaires (vous connaissez le boss de Renault, pas celui de la sécu), ignorance de ce que vous recevrez, et gestion laissée a des politiciens qui agissent en fonction des idéologies plus que le bien commun.
La répartition est totalement inadapté aux vies modernes, vies à employeurs multiples, aux vies expatriées, aux vies actives interrompues et aux variations de revenus d’une vie, de la liberté de choisir sa date de départ. Les cotisations de toute une vie sont spoliées en cas de départ trop tôt.
Pénalise les gens qui n’ont pas assez d’années de cotisation.
Les exemples Chiliens et Hollandais démontent a quel point la capitalisation est plus efficiente et favorise le pays ou elle existe.