Dans le livre, les Fous de Bassan, la vipère n’est pas celle que l’on imagine. Quand le mauvais sort s’acharne sur le monde, le peuple, la politique, un village (thème fréquent dans le polar), selon la Génèse, celle qui a porté le monde (symbolisé par l’enfant), est la première désignée comme responsable (la mère). ainsi que le juif. Celui qui est sensé porter la BONNE parole. Mais à la fin du roman, le coupable est bien le Pasteur qui avec ses Sermons comme le fit Hitler désignaient les breneux qui polluaient les belles rivières. Détournant l’attention de ses propres crimes. La langue de vipère des catholiques fut bien muette quand ils auraient dû agir. Ils n’insinuaient pas, ils orientaient dans le sens de la carpe, navigant dans le marais, la tourbe ou la fange, se déguisant en croix rouge pour se blanchir. Le silence n’est pas pendu, il lui manque les cordes vocales.
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