Ça m’a fait penser au dernier bouquin de Winckler que j’ai lu.
J’aime beaucoup aussi imaginer le passé, y réveiller des choses enfouies en nous, y retrouver des sentiments ciselés totalement écrasés par les grosses louches de facilité à la norme de chez nous du pléonastique aujourd’hui plutôt qu’ ho die.
La Creuse, j’y avais trouvé une maison qui me fait encore rêver, mais on m’avait alors déconseillé d’y partir, seule, en ces circonstances contrariées.
Je rêve d’encore un petit bout d’enfance avec cet ennui géant qui fait figure de terrain d’envol, de rêves, de pensées, de désirs, d’imagination. Où rien jamais ne sera réalisé ou assouvi mais où le terreau de nos pas se sera enrichi.
Cette richesse, humble, ces moments de douceur entre les fléaux de violence, du temps où le temps ne s’était pas accéléré...