Bonjour Finael.
A la différence de celles qui se fondent sur la contrainte, la dictature « libérale » est capable de se nourrir de ce qui s’oppose à elle. Tout ce qui prétend la détruire la renforce, tout ce qui la perturbe l’alimente. Elle tire son énergie de la peur qu’elle met en scène.
Pendant les soixante-dix ans où elle a prétendu combattre le système soviétique, elle l’a soutenu et utilisé comme épouvantail, le reléguant au rayon des « totalitarismes » pour imposer sont propre « mondialisme » et différer autant que faire se peut la révolution mondiale. Aujourd’hui, la civilisation « libérale » s’appuie sur de nouvelles peurs : le « terrorisme », le dérèglement climatique, l’exclusion sociale.
Mais derrière le discours de la catastrophe, on trouve le même mécanisme de récupération. Seulement voilà, au-delà des discours, les faits ont la tête dure, et Chacun peut apprécier le tableau dressé par l’auteur. En attendant l’issue inéluctable, il faut subir et ça devient longuet.
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