Du latin, j’en ai fait un peu dans mon jeune âge.
A première vue, si on est plutôt inculte (attention, je ne parle pas ici de notre Président bien aimé, qui, comme Nicolas Sarkozy est certainement, l’une des lumières intellectuelles de notre Siècle, quasiment un prix Nobel, je suis bien certain qu’ici nul d’en doute).
Bref, à première vue, les langues mortes n’apporteraient pas grand chose au bagage de nos jeunes.
Grave erreur : l’étude du latin et du grec se fait par l’étude des textes anciens de grands penseurs, et de ceux qui comptaient autrefois.
On peut n’être pas d’accord avec ces « démocraties » qui, pour la Grecque reposait sur l’asservissement des esclaves, pour la Romaine reposait sur l’assujettissement des peuples faisant partie de son empire.
Notre démocratie à nous en reprend pourtant dans la forme les principales institutions.
Et, l’Histoire étant un éternel recommencement, l’étude des civilisations et langues anciennes nous éclaire autant sur notre langage que sur l’Histoire contemporaine, et éclaire, dans une certaine mesure notre Présent et notre Futur...
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération