nan mais quelle horrible histoire ! 
Je propose plutôt cela :
Le destin coquin parfois, poussa notre jeune fleur de béton (sis cité Lénine, bloc D) vers (et non pas sur ;) les « champs » auprès du maître des horloges...
Traverse ! lui dit sans ambage l’instrument du destin, à qui il narra ses déboires.
La foule s’en émut. Notre jardinier en herbe ne s’était il pas pris là semblait il un rateau ?
Toutefois galvanisé soudain, ce dernier optempera...
Dans une petite arrière salle obscure, du limoges et du baccara il lava consciencieusement, quand au dehors le soleil était au zenith, quand il disparaissait derrière le Mont Martre...
Trois lunes passèrent lorsque le maitre de lieux lui demanda soudain de remplacer en salle le pingouin de service souffrant d’un refroidissement..
Passant près d’une tablée hétéroclite, la jeune pousse oui un homme des sables portant beau, confier à ses convives être en quête d’un jardinier pour son nouveau caprice, un manoir de toute beauté qu’il s’était fait batir a Sullly sur Loire au bout d’une petite rue donnant sur le fleuve et qu’il voulait agrémenter d’un jardin atypique..
Je suis votre homme, osa le jeune garçon... L’émir releva le défi, appréciant à sa juste valeur l’audace.. lui proposant un salaire au dela de ses espérances.
Sa bonne étoile le mena ainsi à la rue du bout du monde, qu’il traversa le coeur léger...
Heureux