à qui la faute ?
à Hollande qui a attendu jusqu’au bout pour ne pas y aller. Il faut dire que celui qui s’était fait élire pour que Sarko ne soit pas réélu n’avait pas vraiment d’argument pour rempiler.
En plus il a pris Valls comme Premier Ministre, un type qui n’est pas vraiment dans la démagogie de la gôche habituelle (on peut dire que c’est une autre démagogie, mais ça ne change rien).
Donc on a choisi Hamon comme candidat bien représentatif de la bonne gauche démago, qui pouvait tout promettre en sachant qu’il n’avait aucune chance de passer. Résultat plus qu’atteint
Et puis, il faut dire que rien n’est éternel, le PS comme le reste.
Une association d’ambitieux qui n’ont pas grand chose en commun doit bien mourir à un moment. Valls a fait ses valises, comme beaucoup d’autres qui trouvent leur vie ailleurs.
Les Républicains ont perdu leur meilleur ennemi et ne vont pas tarder à le suivre sur la voie du déclin.
Mais si tous ces avantageux partis meurent, ce sera sans doute de mort très très lente : après tout il existe encore un parti radical qui vient de se réconcilier après le schisme de 1981. Mais ça a intéressé qui ?
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