Les animaux sont bien plus « aimables » que les êtres humains. Eux au moins sont innocents de toute faute ou tare morale, ne détruisent pas leur environnement et ne se massacrent pas entre eux pour des motifs futiles.
Et ils sont beaux, les animaux, symboles parfaits du Divin, ou plutôt du Naturel (même chose). Les voir, les toucher, c’est voir les dieux. Comme voir un enfant qui n’a pas été traumatisé par les adultes...
On l’a toujours su jusqu’à ce que les Juifs et les chrétiens ne s’en mêlent avec leur monothéisme anthropocentrique écoeurant.
Par conséquent sauver les animaux est une oeuvre éminemment sacrée et digne d’éloges. Nous avons besoin d’eux plus que nous n’avons besoin de beaucoup d’autres choses que nous estimons à tort indispensables à notre misérable vie d’esclaves citadins.
Et puis, en quoi les efforts de cet admirable Sud-Africain ont-ils nui aux efforts humanitaires en faveur des humains ? Ce qui a été donné aux animaux a-t-il été pris sur ce qui aurait pu être donné aux hommes ?
Commentaires ineptes et d’une profonde bêtise ! Parie n’importe quoi que ça vient de gauchistes.
Quand on aime, on aime tout, cher ami. Et cela inclut les animaux et même le monde dit « inanimé » : l’eau, les montagnes, la terre.
Et il y en a pour tout le monde...
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