Vos considérations sont paradoxales : vous vous plaignez de ne pas gagner assez au regard de vos années d’études et de perdre un bon chercheur parti dans le privé. En même temps vous dîtes que les concours sont effroyablement sélectifs. C’est donc la preuve que le métier continue à attirer malgré ses « bas » salaires. Quand au chercheur de 32 ans que vous avez perdu il aura au moins fait un heureux parmi tous les candidats au concours. Personne n’est irremplaçable, et il est finalement heureux et plus égalitaire que des directeurs de recherche mandarins doivent travailler avec les impétrants du concours plutôt qu’avec leurs « proches ».
Objectivement j’ai du mal à plaindre les chercheurs des grands instituts là où la recherche universitaire peine à exister. Cette dichotomie n’existe pas à l’étranger et la recherche semble s’en porter mieux.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération