Qu’il s’agisse du sexe ou de la nourriture, les tabous n’ont jamais de fondements « naturels » et rationnels (santés, démographie, etc...), mais toujours des fondements religieux et sociaux, et il se pourrait bien qu’homo sapiens ne soit pas le seul hominidé apte à la notion de « sacré ».
Par contre, les tabous diffèrent d’une société, en fonction des structures sociales et des rapports de production, et comme l’énonce le célèbre kakemphaton homophone mais pas homophobe de Corneille (dans Polyeucte) :
« Vous me connaissez mal : la même ardeur me brûle / Et le désir s’accroît quand l’effet se recule » (et le désir s’accroît quand les fesses reculent).
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